Initiée par Patrica Faivre-Rampant, présidente du comité scientifique, une réunion des enseignants du réseau GÉNOME s’est tenue en visioconférence durant 2 heures le mercredi 7 avril 2021. Un peu plus de trente enseignants représentant pas moins de 27 lycées y ont pris part. Il s’agissait de dynamiser l’action des équipes pédagogiques qui composent depuis un an avec les difficultés liées à la crise sanitaire, et présenter les divers projets mis en lumière dans la lettre d’information de « Sciences à l’École » depuis un an, en mettant l’accent sur les ressources pédagogiques disponibles sur le site : projet Populus (tableaux collaboratifs en fin de page) et projets propres (ci-dessous l’ordre du jour de la réunion). D’autres contributions sont attendues à la suite de cette réunion.

Patricia Faivre-Rampant ainsi que les deux enseignants du comité scientifique (Hervé Levesque et Christian Tailliez) ont répondu aux questions des participants. Jean-Yves Daniel, Doyen honoraire de l’Inspection générale de l’Éducation nationale et président d’honneur de « Sciences à l’École », a tenu, en fin de programme, à saluer l’engagement du comité scientifique, des partenaires de l’opération et des équipes pédagogiques du réseau GÉNOME qui contribuent à faire de ce plan d’équipement une réussite majeure depuis 10 ans.

Ordre du jour :

Historique de l’opération « GÉNOME à l’École ».

Présentation par Christian Tailliez, professeur du comité scientifique (lycée Bellevue, Le Mans), de quelques utilisations pédagogiques de Populus au lycée :

  • La représentation de la biodiversité (en seconde) : collecte sur le terrain ou au lycée, approche phénotypique (biométrie), approche ADN (extraction et comparaison des séquences) ;
  • Les mutations à l’origine de la diversité des allèles au cours du temps (en 1ère spécialité) : recherche des variants (SNP) sur les séquences, reconstitution de l’histoire des mutations et donc de l’apparition des allèles ;
  • Un exemple de différenciation de deux populations de peupliers noirs (en terminale) : utilisation des données du tableur collaboratif, TP enzyme de restriction pour génotyper quelques individus supplémentaires, comparaison des fréquences alléliques et test du modèle de Hardy-Weinberg sur 2 populations distantes.       

Présentation de deux projets propres :